Bonjour à vous!
Cela fait un peu plus d’un an que ce site existe à présent. Qui a pu être témoin de ce petit parcours? Qui sont les âmes potentiellement intéressées par une découverte de notre pays, département après département, préfecture après préfecture? Où êtes-vous? (si vous lisez ceci et que vous témoignez de l’intérêt pour cette petite entreprise, les commentaires sont toujours activés)
Au moment où j’écris ces lignes, j’ai énormément de retard dans mes publications, un retard comparable à un certain garçon de bureau, anti-héros de bande dessinée. Rendez-vous compte: j’ai fait presque la moitié des départements de la France continentale, en incluant la Corse. La moitié moins un, plus exactement. Sur ces 47 visites, seulement les dix premières ont été décrites ici. C’est peu!
Et ce grand voyage que je viens de faire il y a quelques jours n’a fait qu’alourdir la « pile de travail ». Jugez plutôt: voici en jaune la liste des départements que j’ai abordés durant ce périple, nommé « Loire & Seine Run » (parcours de la Loire et de la Seine):
Dix-neuf départements visités d’un coup en un seul parcours. Presque deux fois plus que le « Central Run » (parcours « central », vous comprendrez pourquoi sur la prochaine entrée), qui compte dix départements, et dix préfectures ainsi validées. Pendant que les « jihauts » battaient leur plein et que les yeux convergeaient vers Paris (alors qu’il aurait été plus sage de se déplacer une trentaine de degrés vers l’est…), mes yeux suivaient mon propre parcours que d’autres croiraient bien « jibas » en importance. Et de la Loire à la Seine, de la Manche au Golfe du Morbihan, de la Vilaine à l’Odet, j’ai enchaîné les découvertes, les visites, les retours dans des lieux déjà connus… et bien évidemment, les préfectures.
Ceci n’est pas une « carte de progression » – pour rappel, elle est disponible dans l’onglet « Progression ».
J’ai évidemment d’autres projets pour faire connaître ce petit projet: atteindre les divers réseaux sociaux afin de « rencontrer » d’autres gens qui apprécient la diversité géographique et culturelle de la France. Car nous ne devons pas nier ce fait évident. La Provence n’a rien à voir avec la Bretagne, et les Alsaciens n’ont pas à être comparés aux Landais ou aux Toulousains, diantre non!
Et ça a toujours été ainsi: à l’époque antique, notre territoire n’était pas peuplé par des « Gaulois » tout court, contrairement à ce que certains historiens veulent faire croire, mais était en fait peuplé par une myriade de peuples plus ou moins disparates: Celtes, Narbonnais, Aquitains, Belges, subdivisés en Allobroges, Ligures, Ibères pour n’en nommer que quelques-uns… Et même à l’heure actuelle, chaque département a sa propre identité, chaque préfecture a sa propre histoire, sa propre « physionomie ». N’est-ce pas une bonne idée que de découvrir cette diversité?
La prochaine entrée, je vous le promets, mettra de nouveau une préfecture à l’honneur. Laquelle? Vous le saurez bien assez tôt.
À bientôt et prenez soin de vous.